Cohabiter avec la faune

La Fouine peut parfois être source de quelques désagréments, mais c’est avant tout une alliée de l’homme.

Le retour des grands prédateurs est une excellente nouvelle pour la biodiversité mais comment parvenir à coexister avec de tels animaux lorsqu’une société toute entière a appris à organiser sa manière de vivre sans eux ? 

Les arbres et les haies sont d’une importance capitale pour la nidification des oiseaux. Au printemps, il est important d’éviter toute perturbation de ces petits êtres fragiles.

Les corneilles, corbeaux, pies et autres choucas vivent à très grande proximité de l’être humain et ont une mauvaise réputation. Pourtant, une cohabitation respectueuse avec les corvidés est possible.

Le Loup a frôlé l’extermination. Aujourd’hui, grâce à sont statut de protection, il recolonise ses anciens territoires.

L’urbanisation grignote les territoires des espèces sauvages qui n’ont pas d’autre choix que de vivre près de l’être humain.

Dans un article précédent nous mettions en évidence l’utilité du Renard roux qui capture les rongeurs et qui régule les milieux naturels par son action de prédateur.

L’établissement et la propagation d’espèces sur de nouveaux territoires sont des processus naturels qui ont ponctué l’histoire de la vie sur Terre.

Le renard roux est devenu un hôte de plus en plus commun des villes depuis quelques années.

La bernache du Canada est l’espèce d’oie la plus répandue dans le monde.

Ce sont les introductions répétées dans plusieurs pays européens qui ont donné lieu à l’installation relativement récente de populations férales d’ouettes d’Égypte.