Sa cheveche - mimi Brocas

FAQ

Nous avons peut-être déjà la réponse à votre question

© Mimi Brocas

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J'ai trouvé un animal, que faire ?

Dans un premier temps, il faut se poser les bonnes questions :

En effet, on a tendance à agir dans la précipitation, au risque de causer plus de tort que de bien.

Vous trouverez sur le lien suivant des informations précieuses en fonction de l’espèce découverte : Cliquez ici

Ainsi qu’une vidéo explicative sur l’acte de capture : Cliquez ici

Ne forcez pas l’animal à boire ou à manger tant que vous n’avez pas eu de conseils professionnels.

Maintenez l’animal dans un endroit chaud et calme en attendant son transfert vers un centre de soins pour la faune sauvage : Cliquez ici

ANIMAUX ACCEPTÉS : l’ensemble de la faune sauvage indigène est acceptée au Centre de Soins (oiseaux, mammifères, amphibiens et reptiles)

ANIMAUX REFUSÉS : tous les animaux domestiques. D’autres associations existent pour les animaux domestiques, cliquez ici pour voir la liste. Si vous avez perdu ou trouvé un animal domestique/exotique, cliquez ici. Si vous

Si vous avez un doute, cliquez ici pour voir la liste précise des animaux acceptés au centre de revalidation pour la faune sauvage de la LRBPO à Anderlecht.

Nous n’avons pas de service pour les animaux trouvés morts. Plusieurs cas sont possibles:

  • – si l’animal se trouve sur un terrain privé, contactez votre commune
  • – s’il est sur la voie publique, contactez Bruxelles Propreté
  • – s’il est dans un parc ou en forêt, contactez Bruxelles Environnement.

S’il s’agit d’un oiseau sauvage bagué, vous pouvez également le signaler ici.

Si vous trouvez un ou plusieurs animaux sauvages morts dans des circonstances inhabituelles (maladies, empoisonnement, etc.), vous pouvez également contacter Bruxelles Environnement.

Si vous vous trouvez sur la région bruxelloise, vous pouvez contacter l’équipe d’intervention animalière des pompiers au 112.

Si vous vous trouvez en région wallonne, contactez le DNF de votre région ou les pompiers au 112.

Légalement, vous devez le confier à votre commune endéans les 4 jours suivant sa découverte qui vous dirigera vers l’un des refuges de la commune. Ainsi, il sera plus facile pour le propriétaire de retrouver son animal.

Si il s’agit d’un animal sauvage, vous pouvez le signaler ici. Ces données sont très utiles dans le cadre des études menées sur la faune sauvage (populations, déplacements, etc.)
Si il s’agit d’un animal domestique, vous pouvez contacter une association ornithologique comme l’AOB.

Malheureusement, il est impossible pour nous de ne nous déplacer pour récupérer des animaux sauvages blessés. Nous sommes une équipe réduite, et nous n’avons ni le temps, ni les moyens humains pour nous le permettre.

Vous avez la possibilité de contacter les Taxis Verts qui acceptent de transporter des animaux en Région Bruxelloise pour un forfait de 20€. Dans ce cas, merci de joindre une feuille avec les informations suivantes : Nom, prénom, adresse, lieu exact où l’animal a été trouvé et dans quelles circonstances. Ces informations nous sont demandées par Bruxelles environnement.

Dans le cas des animaux dangereux, grands animaux ou animaux coincés et en danger de mort, vous pouvez appeler les pompiers au 112.

Nous sommes ouverts du lundi au vendredi de 9h à 13h et de 14h à 17h, et les week-end et jours fériés de 11h à 13h. Malheureusement, en raison du peu de personnel et du grand nombre d’animaux en soins, nous ne pouvons nous déplacer.

Vous avez la possibilité de contacter les Taxis Verts qui acceptent de transporter des animaux en Région Bruxelloise pour un forfait de 20€. Dans ce cas, merci de joindre une feuille avec les informations suivantes : Nom, prénom, adresse, lieu exact où l’animal a été trouvé et dans quelles circonstances. Ces informations nous sont demandées par Bruxelles environnement.

Pas de panique. Le manque de moyen et le grand nombre d’animaux en soins peuvent accaparer le temps des soigneuses et des bénévoles. N’hésitez pas à réessayer ultérieurement. En attendant, si vous avez trouvé un animal en détresse, placez-le dans un carton préalablement troué dans une pièce sombre et calme, vous trouverez de précieux conseils en cliquant ici.

Nous sommes ouverts du lundi au vendredi de 9h à 13h et de 14h à 17h, et les week-end et jours fériés de 11h à 13h. En dehors de ces heures,  des bénévoles peuvent vous donner des conseils adaptés. Contactez les pompiers au 112 en cas d’animal dangereux non manipulable.

Dans un premier temps, il ne faut pas s’affoler. Les animaux sauvages n’attaquent pas l’homme, mais peuvent être dangereux si vous tentez de les toucher ou capturer. De plus, rassurez-vous, le renard est exempt de rage depuis 1999.
En fonction de la situation, il existe différents moyens d’agir, vous trouverez plus d’informations sur l’article suivant : Cliquez ici

Dangers pour la faune sauvage

Vous pouvez placer de l’eau à disposition de la faune assoiffée. Pour ce faire, vous pouvez utiliser une soucoupe de 3-4 cm (maximum 5 cm) de profondeur remplie d’eau sans additif. Quelques pierres ou branches peuvent y être disposées afin que les espèces de petite taille puissent également y avoir accès sans nécessairement se mouiller. Le récipient peut être placé au sol si les chats sont absents ou dans un endroit ouvert et en hauteur (plus d’un mètre) si le félin rôde souvent dans votre jardin. Il est nécessaire de changer l’eau tous les jours pour éviter la prolifération d’agents pathogènes, et de laisser le récipient jour et nuit.

Pour plus d’informations : Cliquez ici

Mesures préventives

  • – Appliquer sur la vitre des silhouettes ou des films autocollants en est une. Les motifs en fines lignes verticales ou en points espacés d’une dizaine de centimètres sont les plus efficaces. La surface vitrée doit être marquée sur toute sa surface, en appliquant des motifs de protection sur la face extérieure. Les silhouettes ne sont efficaces que si elles sont placées de manière très dense.
  • – Placer un store extérieur, un volet que l’on ouvre seulement quand on est présent dans la pièce. Dans tous les cas, il faut veiller à éteindre les lumières et fermer les rideaux, stores et pare-soleil le plus souvent possible. Il est aussi possible de placer des obstacles visibles à proximité de la surface extérieure de la vitre: ficelles, grillages, etc.

Deux situations peuvent se présenter suite à un choc contre une vitre :

  • – l’oiseau reste au sol, il est choqué, hébété, il tremble, il a des difficultés pour respirer. Dans ce cas, il peut être ramassé et placé immédiatement dans une caisse en carton munie de trous. Cette caisse sera placée dans l’obscurité, dans un endroit frais. Laissez-le récupérer tranquillement. Au bout de quelques heures ou d’une nuit, vérifiez son état. S’il est agité, s’il cherche à s’échapper alors, il peut être relaché. Sinon, il doit être amené dans un centre de revalidation pour la faune sauvage.
  • – l’oiseau a une fracture du crâne, du bec. Du sang apparaît, dans ce cas, la mort intervient très rapidement. Sinon, amenez-le le plus rapidement possible dans un centre de revalidation.

Pour plus d’informations: Cliquez ici

L’impact de la prédation du chat sur les oiseaux est considérable. Il existe cependant des gestes simples pour minimiser les risques, tels que la stérilisation, l’éloignement du chat, son approvisionnement en nourriture, sa mise en activité ou encore le port d’une collerette… Pour en savoir plus : Cliquez ici

Les filets placés autour de certaines boules de graisse de grand distribution peuvent être dangereux pour les oiseaux. Le problème ne vient pas forcément de la boule en elle-même mais plus particulièrement des filets qui entourent ces boules. Ceux-ci peuvent provoquer des accidents et peuvent même se transformer en pièges mortels. Dans tous les cas, il vaut mieux privilégier les graines plutôt que les aliments à base de graisse pour nourrir les oiseaux. Pour plus d’informations : Cliquez ici

Le premier impact des éoliennes sur l’avifaune, et non des moindres, est la phase de construction. Comme tous les chantiers, ceux-ci perturbent la faune sur une superficie importante surtout pendant la saison de nidification. Les oiseaux quittent tout simplement la zone. Cette zone d’exclusion peut atteindre 600 mètres de rayon autour du parc éolien. Lire la suite : Cliquez ici

Les impacts de la pollution lumineuse sur la faune sont nombreux. La clé du problème réside dans la diminution de l’éclairage inutile, de longue durée et de trop forte intensité. Pour plus d’informations : Cliquez ici

Comment installer un nichoir ?

Les oiseaux utilisant des nichoirs sont les espèces cavernicoles. Il s’agit principalement des mésanges, des sitelles, des rougequeues ou des moineaux. Ces nichoirs doivent être installés sur un support (mur ou arbre) entre 1,5 et 6 m de hauteur.

Certaines espèces ont besoin d’un trou d’envol assez vaste et utilisent les nichoirs semi-ouverts comme les Bergeronnettes grises et des ruisseaux, le Gobemouche gris, le Rougequeue noir, Le Troglodyte mignon et le Rougegorge familier. Ils sont à installer de préférence sur un mur ou dans une haie, dans un endroit calme, à une hauteur de 1,50 à 3 mètres.

Plus d’informations : Cliquez ici.

Il est déconseillé d’accrocher un nichoir en plein soleil ou totalement à l’ombre. Idéalement, le trou d’envol doit être disposé à l’opposé des vents dominants. L’orientation la plus adéquate se situe à l’est et au sud-est. De plus, afin d’éviter que les intempéries ne pénètrent le nichoir, nous conseillons d’incliner le nichoir légèrement vers l’avant.

Plus d’informations : Cliquez ici.

Un nichoir peut être installé dès l’automne, ce qui permet aux oiseaux de l’utiliser comme gîte durant l’hiver. De plus, les oiseaux sédentaires comme les mésanges explorent déjà leur environnement à la recherche d’une cavité de nidification dès l’hiver. Il n’est pas trop tard pour en installer jusque fin mars. Les nichoirs qui sont installés plus tard auront moins de chance d’être occupés par des espèces sédentaires, mais laissent au contraire une chance aux espèces migratrices un peu moins communes, comme le Rougequeue à front blanc, ou le Gobemouche noir.

Plus d’informations : Cliquez ici ou ici.

Il existe plusieurs solutions pour protéger les occupants d’un nichoir contre les prédateurs :

  • – Evitez de disposer le nichoir au faîte d’un mur ou à proximité de branches horizontales, facilement accessibles aux chats et autres prédateurs.
  • – N’achetez pas de nichoir avec un perchoir à l’entrée du trou d’envol. Celui-ci n’a aucune utilité pour les oiseaux mais au contraire facilite l’accès aux prédateurs.
  • – Fixez éventuellement une plaque métallique autour du trou d’envol afin d’empêcher l’agrandissement de ce dernier par les pics, les sitelles, les lérots et les écureuils.
  • – Fixez le cas échéant autour du tronc une chaîne-herse “Stop minou” contre les prédateurs grimpeurs. Ou un plastique (bien lisse).

Plus d’informations : Cliquez ici. Tous ces articles sont disponibles dans notre Boutique Nature.

Sur un arbre, évitez les clous et préférez le fil de fer, en prenant soin de glisser entre celui-ci et l’écorce plusieurs morceaux de bois. Ainsi, la croissance de l’arbre ne sera pas entravée, et les blessures seront moins probables. Dans tous les cas, la fixation doit être solide afin d’éviter la chute.

La hauteur de fixation indicative est la suivante  :

  • Mésange noire : 2 à 4 m
  • Mésange bleue : 2 à 5 m
  • Mésange charbonnière : 2 à 6 m
  • Moineau domestique : 3 à 6 m
  • Rouge-queue à front blanc : 1,5 à 4 m
  • Sitelle torchepot : 3 à 6 m
  • Etourneau sansonnet : 5 à 8 m
  • Troglodyte mignon : 0 à 2 m
  • Rouge-gorge familier : 0 à 2 m
  • Bergeronnette grise : 1,5 à 3 m
  • Rouge-queue noir : 1,5 à 3 m

Plus d’informations : Cliquez ici.

La plupart des oiseaux défendent leur territoire contre les intrus de la même espèce. Il est donc inutile, voire néfaste, de disposer en trop forte densité des nichoirs destinés à une même espèce (même type, même diamètre de trou d’envol). Aussi, il est bon de varier les modèles et de respecter des distances minimales entre deux nichoirs identiques.

Plus d’informations : Cliquez ici.

La durée de vie d’un nichoir en bois dépend de son emplacement et du climat ainsi que de son entretien. Idéalement, il est conseillé d’entretenir son nichoir en bois en septembre-octobre car la nidification de toutes les espèces d’oiseaux est alors terminée. Le nichoir peut être remis directement en place après avoir été nettoyé. Nettoyer à l’eau le nichoir permet d’éviter la transmission d’éventuels maladies et l’invasion de parasites. Il est possible de badigeonner l’intérieur avec de l’essence de thym afin d’éloigner les parasites.

Chaque année, il est préférable de vérifier la solidité du nichoir et de la fixation afin d’éviter que le nichoir ne tombe avec la nichée.

Plus d’informations : Cliquez ici.

Un nichoir bien conçu et bien placé aura plus de chance d’attirer rapidement des occupants. Pour cela retrouvez tous nos conseils ici. Certains nichoirs peuvent être rapidement colonisés, comme les nichoirs à mésanges.

Cependant, les nichoirs à eux seuls ne suffisent pas à attirer les oiseaux sur des sites potentiels de nidification. Pour qu’un couple d’oiseaux s’installe dans un nichoir, il faut que l’environnement permette de répondre à ses besoins vitaux (disponibilité en nourriture pour eux et pour leurs jeunes, protection contre les prédateurs et les intempéries, point d’eau, postes de chant, présence de congénères pour les espèces coloniales, absence de rivaux pour les espèces territoriales…).

Pour qu’un nichoir soit occupé, il faut que les espèces visées soient présentes à proximité. De plus, certaines espèces, même lorsqu’elles fréquentent les lieux, peuvent mettre plusieurs années avant de coloniser un nichoir. Il faut donc parfois s’armer de patience.

Installer un nichoir, ce n’est pas avoir la certitude qu’il sera occupé. C’est par contre la certitude d’aider la nature en augmentant la disponibilité des cavités de nidification potentielles, que les oiseaux choisiront ou non d’occuper en fonction de leurs multiples besoins.

Nourrir et abreuver les oiseaux

La période pour nourrir les oiseaux commence dès le début des gelées vers le mois de novembre jusqu’à la fin de ces dernières au mois de mars. Commencez à nourrir progressivement lorsque le froid arrive et diminuez les quantités avant l’arrêt complet.

Il faut disposer les mangeoires dans des endroits hors de portées des prédateurs et à l’abri des intempéries. Nous vous conseillons de remplir vos mangeoires de nourriture matin et/ou soir, à horaire régulier. Les graines, si possibles issues de l’agriculture biologique sont à préférer aux aliments à base de graisse. Il ne faut pas donner aux oiseaux d’aliments salés, ni de pain.

Afin d’éviter la propagation de maladies, les mangeoires doivent être vidées et nettoyées régulièrement.

Enfin, n’oubliez pas de donner de l’eau toute l’année, et de la changer tous les jours.

Plus d’information

Nous conseillons de disposer un point d’eau propre, sans additif (sel, huile, glycérine et antigel) toute l’année pour que les oiseaux puissent boire et nettoyer leurs plumes.

Choisissez un endroit hors de portée des prédateurs, plutôt au sol, à proximité (2 mètres minimum) d’arbustes pour se percher, en cas de danger mais aussi pour qu’ils puissent lisser leurs plumes. En hiver, choisissez un lieu ensoleillé et en été, préférez un lieu ombragé pour garder la fraîcheur de l’eau.

Installez un récipient solide, facile à nettoyer, avec des petits rebords et/ou une légère pente et une profondeur de maximum de 5 cm environ.

Il est judicieux de placer une pierre ou un morceau de branche dans l’abreuvoir afin que les petites espèces puissent boire et se baigner en sécurité.

Afin d’éviter la propagation de maladies, il faut changer l’eau et nettoyer les abreuvoirs quotidiennement.

En savoir plus

Le pain est n’est pas un aliment adapté pour les oiseaux. Le pain gonfle dans l’estomac, donnant à l’oiseau aura une sensation de satiété. celui-ci n’ira pas chercher la nourriture convenant à ses besoins nutritionnels. A long terme, des carences se développent et peuvent avoir différentes conséquences comme affaiblir l’oiseau qui se fera plus facilement attaquer par un prédateur ou l’empêcher de voler. Pour plus d’informations : Cliquez ici

Pertubartion intentionnelle ou maltraitance d'un animal

A Bruxelles, si l’animal sauvage a été torturé, braconné, piégé ou que son nid a été détruit ou déplacé, vous pouvez porter plainte auprès du service bien-être animal de Bruxelles Environnement ou envoyer un mail à inspection-inspectie@environnement.brussels

En Wallonie :

– si l’animal sauvage a été piégé ou détruit, vous pouvez contacter le cantonnement concerné du DNF.

– si l’animal sauvage a été torturé, braconné ou que son nid a été détruit ou déplacé, il faut collecter un maximum d’informations (lieux, date, faits précis, photos) et prendre contact avec l’Unité Anti Braconnage du DNF (+32 (0)81 33 51 87, uab.dnf.dgo3@spw.wallonie.be)

Il faut collecter un maximum d’informations (lieux, date, faits précis, photos) et porter plainte :

Elagage / abattage d'arbre

A Bruxelles, il est interdit d’élaguer ou d’abattre un arbre, à l’aide d’outils motorisés, du 1er avril au 15 août. En cas d’infraction, il faut récolter un maximum d’informations (lieux, date, faits précis, photos) et contacter le service environnement de votre commune pour savoir si l’auteur des faits a obtenu préalablement un permis et si une dérogation lui a bien été accordée par Bruxelles Environnement (inspection-inspectie@environnement.brussels).

En Wallonie, il n’existe malheureusement de législation régionale concernant l’abattage et l’élagage des arbres. La législation dépend du règlement de police communale.

Cependant, tous les oiseaux sauvages européens sont protégés en vertu de la Directive Oiseaux de l’Union Européenne, de l’Ordonnance Nature en Région bruxelloise, et de la Loi sur la Conservation de la Nature en Région wallonne, avec une attention particulière à la protection des nids. Si des éléments sont disponibles pour prouver que des travaux mettent directement en danger des nids, il faut alors contacter Bruxelles Environnement, ou le DNF.

Non. Tous les oiseaux sauvages européens sont protégés en vertu de la Directive Oiseaux de l’Union Européenne, de l’Ordonnance Nature en Région bruxelloise, et de la Loi sur la Conservation de la Nature en Région wallonne. Cela implique que les nids sont protégés et ne peuvent être déplacés sans dérogation. La Ligue Royale Belge pour la Protection des Oiseaux (LRBPO) ne possède donc pas d’équipe prévue à cet effet.

De nombreux nids d’oiseaux sont régulièrement détruits au printemps et en été de manière directe ou indirecte par la destruction ou la modification de la végétation autour de ceux-ci.

Presque chaque jour, la Ligue reçoit des appels de particuliers inquiets car ils voient disparaître les arbres où nichent certains oiseaux. Chaque semaine, des jeunes oiseaux dont le nid a été détruit arrivent dans les centres de revalidation pour la faune sauvage.

Chasse

Vous trouverez toutes les informations utiles mise à jour sur la page suivante: Cliquez ici.

Vous trouverez toutes les informations utiles mise à jour sur la page suivante: Cliquez ici.

Les dérives de la chasse sont nombreuses et nous les combattons fermement au sein du collectif Stop aux Dérives de la Chasse.

Pour plus d’informations encore, vous les retrouverez détaillées une à une sur le lien suivant : Cliquez ici

Démonstration de rapaces

La Ligue demande l’interdiction des démonstrations itinérantes de rapaces en Wallonie. Alors que ces envols ne sont déjà plus autorisés dans la capitale bruxelloise, le ciel wallon continue d’accueillir des spectacles qui contreviennent au bien-être animal et au respect de la vie sauvage. Pour en savoir plus : Cliquez ici

A Bruxelles, cette pratique est strictement interdite. Vous pouvez dès lors porter plainte auprès du service du bien-être animal de Bruxelles Environnement ou envoyer un e-mail au service d’inspection.

En Wallonie, cette pratique est malheureusement toujours autorisée. Pour sensibiliser votre commune au sort de ces animaux, vous pouvez leur envoyer un courrier type que vous trouverez sur le lien suivant : Cliquez ici.

Pour un jardin riche en biodiversité

La meilleure période pour planter des arbres selon les espèces se situe entre le début du mois de septembre jusqu’à la fin du mois d’avril. Par contre, les arbres en racines nues doivent être plantés pendant le repos végétatif, c’est-à-dire de novembre à mars en évitant les journées de grosses gelées. Souvent, ils sont plantés lors de la Sainte Catherine, le 25 novembre car tout bois prend racine !

Il faut prendre le temps de bien réfléchir à l’emplacement car l’arbre va grandir. Certains arbres sont des essences de soleil et d’autres d’ombre. Faites également attention de respecter les distances réglementaires par rapport au voisinage.

Creusez un trou large et profond qui permet de mettre environ deux fois la motte. Réservez la terre d’origine que vous ameublissez pour le fond du trou afin de permettre aux racines de bien pénétrer le sol.

Plus d’informations: Cliquez ici.

La haie offre à la fois le gîte et le couvert à une multitude d’espèces dont beaucoup d’oiseaux (Accenteur, Fauvette, Rouge-gorge, etc.). Elle est donc fortement recommandée au jardin.

Pour composer votre haie, choisissez des espèces végétales indigènes et variées. Vous pouvez sélectionner des espèces de tailles différentes afin d’offrir aux animaux divers types de fruits et baies.

Les baies décoratives sont souvent des éléments attractifs pour les oiseaux qui en raffolent. Alors que les habitats naturels se raréfient, une haie de fusain, de houx ou de berbéris représentent un précieux garde-manger pour nos amis ailés. La plantation de telles espèces est idéale pour la faune ainsi que pour beaucoup d’invertébrés qui en profiteront également tout en attirant à leur tour des oiseaux, des hérissons, etc.

Tous nos conseils pour un jardin riche en biodiversité: Cliquez ici

La disponibilité en eau est vitale pour les oiseaux sauvages qui visitent nos jardins. Retrouvez tous nos conseils pour créer une mare naturelle: Cliquez ici.

Il existe plusieurs façons de créer une prairie fleurie. La plus simple consiste à laisser la nature faire son œuvre et à attendre que les plantes croissent spontanément et colonisent les lieux. L’avantage de ce procédé réside dans le fait que les plantes qui s’installent sont adaptées au milieu. En revanche, la diversité risque d’être limitée. Une autre méthode consiste à semer une grande diversité de graines de plantes sauvages.

Les fleurs de prairie à privilégier :

  • – Achillée mille-feuille
  • – Bleuet
  • – Coquelicot
  • – Pâquerette
  • – Trèfle des prés
  • – Tanaisie

Retrouvez tous nos conseils pour créer des pelouses et prairies naturelles : Cliquez ici.

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Toute l’équipe de la Ligue Royale Belge pour la Protection des Oiseaux est à votre disposition pour vous aider, n’hésitez pas à nous contacter

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