Les martinets sont des oiseaux méconnus et souvent confondus avec les hirondelles. Face aux menaces sérieuses qui pèsent sur leurs sites de nidification, et donc aux difficultés toujours plus grandes pour se reproduire, la Ligue a décidé de les aider en soutenant la Journée Mondiale des Martinets, le 7 juin, mais également en vous proposant le nichoir à martinets LRBPO, parfaitement conçu pour ces derniers et que vous pourrez installer chez vous.
Le véritable domaine du martinet, c’est l’espace aérien. Les martinets noirs occupent volontiers les nichoirs, mais il faut parfois patienter de deux à quatre ans pour les voir s’y installer. Une fois présents, ils reviendront chaque année. Ces nichoirs sont donc à placer aussi haut que possible sur un bâtiment : sur un toit, sous l’avancée de celui-ci, sur le rebord d’une fenêtre, …
Les équipes de la Ferme Nos Pilifs à Bruxelles ont développé ce nichoir à martinets, épaulées par Martine Wauters, ornithologue amoureuse de cet oiseau.
C’est donc très naturellement que la LRBPO a décidé d’ajouter ce modèle à sa gamme, en accord avec les valeurs éthiques, écologiques et sociales qu’elle défend et qui sont au coeur des activités de la Ferme Nos Pilifs. En achetant ce nichoir Made In Pilifs, vous soutenez directement l’emploi de 145 personnes en situation de handicap. Et vous aidez les martinets !
Le Martinet noir [2].
Le Martinet ne passe que cent jours par an dans notre ville, mais c’est largement assez pour nous stupéfier. Qui pourrait croire qu’il pousse des pointes à 200 kilomètres à l’heure ? Que certains Martinets atteignent l’âge de 30 ans ; Et surtout qu’il est capable de parcourir d’une seule traite cinq cent mille kilomètres — soit deux années entières passées dans le ciel sans jamais poser pied à terre…
Où le Martinet va-t-il dormir ? Pas dans un nid, ni dans un arbre, mais… en plein ciel, à plus de mille mètres d’altitude ! Comment une telle chose est-elle possible ?
Réponse dans la Hulotte qui vous révèle aussi le nombre de kilomètres parcourus en vol chaque jour par le Martinet ; pourquoi, dans certaines régions, on l’appelait meneur d’orages ; l’explication peu banale de ses courses folles au-dessus des toits en poussant des cris de Sioux.
40 pages à couper le souffle, illustrées de 118 dessins à la plume.
Aider les martinets et les hirondelles, ils en ont besoin ! Leur population décline un peu plus chaque année.
Voici un cahier technique très détaillé pour aider les martinets et hirondelles : 52 pages remplies de conseils pratiques et d’astuces pour fabriquer et poser des nichoirs, pour savoir quoi faire lorsque l’on trouve un martinet blessé, pour inviter les hirondelles chez soi ou encore pour installer des « bacs-à-boue »…
Inclus un petit carnet de reconnaissance.
Carte dessinée par le célèbre peintre animalier belge « André Buzin ».
