SA Bruant des roseaux

Écouter les oiseaux chanter

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Le printemps est là. Les jours s’allongent, et après des mois plus ternes, la nature reprend des couleurs. Les feuilles poussent sur les arbres, et des fleurs apparaissent ici et là. Certains oiseaux sont déjà de retour de migration… Le printemps nous en met plein la vue. Mais nos oreilles ne sont pas en reste, car depuis plusieurs semaines déjà, le paysage sonore s’enrichit de jour en jour, et les oiseaux en sont les principaux artisans. Mais comment discerner ces sons et identifier les chanteurs ? Nous vous donnons quelques astuces dans cet article.

Chant ou cri ?

Les oiseaux émettent différents types de vocalisations. La plupart des espèces émettent un ou plusieurs types de cris. Les cris remplissent diverses fonctions. Les cris d’alarme alertent les congénères et les autres espèces d’un danger proche ou imminent, les cris de contact sont émis entre individus d’une même espèce ou entre des adultes et leurs poussins, les cris de vol permettent d’assurer un lien auditif entre les individus d’un groupe en vol ou entre des individus en vol et d’autres qui sont posés au sol. Les cris sont souvent des vocalisations assez simples, monosyllabiques pour la plupart. Pour cette raison, certains cris peuvent être similaires entre deux espèces, et ne sont pas toujours faciles à distinguer.

Fauvette grisette

Certaines espèces, principalement les passereaux, émettent également un chant. Le chant diffère des cris avant tout par sa fonction. Le chant est émis (en général) par le mâle, dans le but de défendre un territoire de nidification, et pour attirer une partenaire. Le chant s’adresse donc exclusivement aux individus de la même espèce que le chanteur : aux mâles rivaux, qui sont priés de rester à distance, et aux femelles, qui sont l’objet de la séduction. Pour cette raison, les chants, bien que cela ne soit pas toujours perceptible quand on commence à s’y intéresser, sont la plupart du temps très différents d’une espèce à l’autre. En effet, affirmer l’espèce à laquelle il appartient est un des objectifs poursuivis par le chanteur lorsqu’il émet cette vocalisation. Par comparaison aux cris, les chants sont donc plus “faciles” à distinguer d’une espèce à l’autre.

Alors que les cris sont principalement monosyllabiques, les chants quant à eux ont généralement une structure plus complexe, composés de plusieurs syllabes, parfois jusqu’à former de longues séquences. Mais bien sûr, la nature est pleine d’exceptions, et il existe certains chants simples monosyllabiques. Un exemple est le simple “tchip” émis par le Moineau domestique à l’entrée de son nid. Celui-ci se distingue d’un cri par sa fonction : cela a beau être une vocalisation simple, elle est émise par le mâle, sa fonction est de défendre un territoire et d’attirer une partenaire… C’est donc un chant !

Les chants et les cris : des aides précieuses à l’identification

Les vocalisations des oiseaux ont des fonctions bien précises dans leur cycle de vie. Mais pour les ornithologues aussi, les cris et les chants sont bien utiles. Tout d’abord, prêter attention aux vocalisations des oiseaux permet de prendre conscience de leur présence. Puisque beaucoup d’espèces ne se montrent que très peu, leurs manifestations auditives sont précieuses. Bien qu’il soit parfois difficile de trouver un oiseau même quand on sait qu’il est présent, avoir la certitude qu’un oiseau est là grâce à son cri ou son chant facilite grandement la recherche.

Grimpereau des jardins

Le Grimpereau des jardins est très difficile à distinguer visuellement de son cousin le Grimpereau des bois. Leur chant est le meilleur moyen de les différencier.

De plus, comme les chants (et de nombreux cris) sont spécifiques à une espèce donnée, identifier ces vocalisations permet souvent d’identifier à coup sûr l’oiseau, avant même d’avoir pu l’observer, ou quand l’observation n’est pas possible.

Enfin, certaines espèces d’oiseaux sont visuellement très proches, et leur chant et/ou leurs cris sont parfois le meilleur moyen de les différencier. On peut notamment penser aux deux espèces de grimpereaux (G. des jardins et G. des bois), aux rousserolles (R. effarvatte et R. verderolle), aux pipits (P. farlouse et P. des arbres), ou encore aux hypolaïs (H. ictérine et H. polyglotte). Au sein de chacun de ces duos d’oiseaux très ressemblants, ce sont les chants qui permettent de distinguer le plus facilement les espèces l’une de l’autre car ils sont, eux, assez différents. Connaître les chants et les cris des oiseaux est donc très utile pour ces cas où l’identification visuelle n’est pas facile.

Apprendre les chants d’oiseaux, c’est possible !

Comment mémoriser les chants d’oiseaux ? Ce n’est certes pas une tâche facile, mais c’est un objectif bien plus accessible qu’on le craint souvent de prime abord. Il est normal de se sentir perdu lorsque l’on débute dans cet apprentissage, mais il faut éviter de se laisser gagner par ce découragement. La plupart des ornithologues amateurs savent identifier les chants des oiseaux qu’ils entendent régulièrement… Alors pourquoi pas vous ? Et ce qui est magnifique, c’est que les oiseaux sont les premiers alliés des ornithologues dans cet apprentissage. Ils chantent sans cesse : ils répètent sans arrêt qui ils sont ! Il suffit de prendre le temps de les écouter.

Comment s’y retrouver ?

C’est au printemps, dans le courant du mois de mai, que le concert de chants est le plus intense. C’est un spectacle auditif réjouissant, et passionnant pour les ornithologues confirmés, mais ce n’est pas le moment idéal pour débuter l’apprentissage. En effet, quand toutes les espèces chantent en même temps, il est plus difficile d’isoler les chants les uns des autres pour commencer à les mémoriser.

Heureusement, ce climax sonore se met en place progressivement au cours des semaines et des mois qui précèdent. Comme beaucoup de phénomènes chez les oiseaux, le chant est entre autres déclenché par l’allongement de la durée d’ensoleillement quotidienne. Dès le mois de janvier, lors d’éclaircies, on peut entendre de plus en plus fréquemment certains oiseaux chanteurs sédentaires pousser la chansonnette. Puis, au cours du printemps, de plus en plus d’espèces se mettent progressivement à chanter. Certains oiseaux sédentaires commencent à chanter un peu plus tardivement, et surtout, les oiseaux migrateurs regagnent petit à petit nos régions. C’est ainsi que de jour en jour, l’orchestre ornithologique matinal se complexifie, un nouveau chant s’ajoutant chaque jour à ceux de la veille.

merle noir chant

Le Merle noir est une des espèces les plus communes et les plus loquaces.

Pour débuter dans l’apprentissage des chants, l’idéal est de s’y mettre petit à petit, dès la fin de l’hiver, quand les oiseaux recommencent progressivement à chanter. Cela permet dans un premier temps de se familiariser avec les chants des espèces communes sédentaires, comme les mésanges (M. bleue et M. charbonnière), le Rougegorge familier, le Troglodyte mignon, l’Accenteur mouchet, etc. C’est déjà un bon début car les espèces sédentaires de passereaux sont nombreuses, et certains de ces chants ne sont pas faciles à identifier. Les chants du Rougegorge et de l’Accenteur, notamment, sont parmi ceux qui posent le plus de problèmes au début. Mais il ne faut pas se décourager : tous les ornithologues sont passés par là. Il est normal d’éprouver certaines difficultés. C’est aussi ce qui rend la progression passionnante. Il faut juste s’armer de patience, et s’autoriser à prendre le temps nécessaire pour que, petit à petit, les connaissances s’accumulent.

Si il n’a pas été possible de débuter l’apprentissage des chants dès la fin de l’hiver, il reste possible de se ménager des moments favorables à l’apprentissage, où la complexité sonore est moindre, même quand le printemps est déjà bien entamé. Choisir des moments de la journée ou des lieux où seules quelques chants différents sont audibles permet de se concentrer plus facilement sur quelques espèces. Limiter le nombre de chants à apprendre est d’ailleurs une bonne approche. L’immense majorité des chants qui parviennent à nos oreilles tout au long de notre vie d’ornithologues sont ceux des espèces communes. Commencer par apprendre les chants des espèces que l’on aperçoit régulièrement dans son jardin ou dans le parc voisin permet donc de constituer une très bonne base. Une fois cette base maîtrisée, au moins en partie, c’est alors le moment de s’aventurer à la découverte d’autres chants inconnus.

L’aube des oiseaux

De la même manière que les chants sont de plus en plus nombreux au cours du printemps, le concert se remet en marche chaque matin progressivement avant même le lever du soleil. La complexité du paysage sonore atteint son paroxysme en début de matinée. Les voix s’éteignent ensuite petit à petit, et le milieu de l’après-midi est le moment de la journée où les chanteurs sont les moins actifs. L’ordre chronologique approximatif d’apparition des chants est représenté dans la figure ci-dessous.

aube des oiseaux

1. Grive musicienne - 2. Merle noir - 3. Rougegorge familier - 4. Troglodyte mignon - 5. Pinson des arbres - 6. Mésange bleue - 7. Fauvette à tête noire - 8. Verdier d’Europe

Comment mémoriser les chants des oiseaux ?

Inconsciemment, la majorité d’entre nous analysons principalement notre environnement en utilisant notre regard. La vision est surexploitée en comparaison avec nos autres sens dans notre perception du monde qui nous entoure. En conséquence, le vocabulaire associé à l’univers visuel est extrêmement riche, tandis que celui associé à la sphère auditive est plutôt pauvre. Décrire, et donc mémoriser, des sons est une chose que nous sommes peu habitués à faire, et pour laquelle nous sommes peu outillés. Les personnes pratiquant la musique ou les spécialistes de l’acoustique ont un petit avantage. Mais il est important d’insister sur le fait qu’il n’est pas nécessaire d’avoir “l’oreille musicale” pour apprendre à connaître les chants des oiseaux. D’ailleurs, bien qu’on les appelle des chants, tenter de mémoriser une “mélodie” stéréotypée, comme on retiendrait une chanson, n’est pas toujours la bonne approche.

Il existe plusieurs techniques pour tenter de décrire et mémoriser les chants, qui peuvent être complémentaires les unes aux autres. Mais la réceptivité par rapport à ces différentes méthodes dépend fortement d’une personne à l’autre. L’important est que chacun utilise les méthodes qui lui conviennent. 

Pour certaines espèces dont le chant varie peu, des phrases mnémotechniques peuvent être utilisées. Un exemple connu est le chant du Grimpereau des jardins qui peut s’apparenter à la phrase “Je grimpe au paradis”. Comme toutes les approches de mémorisation des chants d’oiseaux, les phrases mnémotechniques sont utiles pour certaines personnes mais s’avèrent totalement inefficaces pour d’autres. Il est aussi possible de décrire certains chants au moyen d’onomatopées. Un des inconvénients de ces techniques est qu’elles ne permettent pas de tenir compte de la variabilité d’un chant. Or, tous les oiseaux de la même espèce ne chantent pas toujours tous exactement de la même façon.

Rossignol philomele

Le Rossignol philomèle émet un chant puissant, mais se laisse rarement observer.

La méthode la plus efficace pour couvrir la diversité des chants des oiseaux est de se focaliser sur la structure du chant. Le chant est-il simple ou complexe ? S’agit-il d’une phrase stéréotypée ou y a-t-il des variations ? Certains sons sont-ils répétés ? Le chant contient-il un motif typique de l’espèce ? Cette méthode a l’avantage de pouvoir s’appliquer aux chants de toutes les espèces. Le chant de la Grive musicienne par exemple, ne peut pas se résumer à une mélodie, ni à une phrase mnémotechnique, ni à une onomatopée… Mais sa structure peut-être décrite comme une longue séquence composée d’une succession de motifs très variés et brefs (moins d’une seconde environ), répétés de deux à quatre fois. C’est un exercice qui peut sembler fastidieux, mais décortiquer le chant jusqu’à être capable de le décrire de la sorte est un excellent moyen de le différencier d’autres chants, et au final, de le mémoriser.

Pour compléter cette approche, il est probablement plus efficace de tenter de décrire les sons en fonction de leurs caractéristiques physiques, et avec les mots les plus susceptibles d’être interprétés de la même manière par le plus grand nombre de personnes (haut, bas, aigu, grave, rapide, lent…). Au contraire, les qualificatifs plus imagés tels que “métallique”, “triste” ou encore “liquide” sont à éviter autant que possible car l’interprétation de ces termes varie beaucoup d’une personne à l’autre.

Le sonagramme, un outil de visualisation du chant

Un outil précieux, et totalement différent de ceux exposés jusqu’ici, dans l’apprentissage des chants d’oiseaux est le sonagramme. Le sonagramme est une représentation graphique d’un son. La fréquence du son (en kHz) est représentée sur l’axe vertical, tandis que l’axe horizontal représente le temps. Ainsi, un son de tonalité plus aiguë est représenté plus haut sur le graphe, et la longueur de la trace est proportionnelle à la durée du son. Cela demande un peu d’habitude, mais avec un peu de pratique, on peut arriver à s’imaginer un chant ou un cri sur base du sonagramme qui le représente. C’est un outil particulièrement utile, notamment car il permet d’exploiter notre sens visuel pour différencier, identifier et mémoriser des sons.

Exemple : comment décrire le chant d’une Mésange bleue ?

sonogramme du chant mesange bleue

Sonagramme du chant d’une Mésange bleue.Source: https://xeno-canto.org/785546 (permet d’écouter le chant correspondant). © Andrew Edwards, xeno-canto.org

Le chant de la Mésange bleue est l’un des plus fréquemment entendus. Comment appliquer différentes méthodes de description des chants à celui-ci ? Une onomatopée correspondante pourrait être Tiii tiii tiii tululululululu. Mais le nombre de tiii et de lululu sont variables. Décrire la structure du chant permet de rendre compte de cette variabilité. Une description possible est, par exemple : un chant en deux parties, composé d’abord d’une note aiguë répétée une à trois fois, puis d’une seconde note plus grave, plus courte et descendante, répétée un plus grand nombre de fois. Enfin, une troisième option est d’observer le sonagramme. Il se compose de deux parties: d’abord trois traces relativement longues en haut à gauche (correspondant au Tiii tiii tiii aigu), puis sept traces plus basses (sons plus graves; correspondant au tululululululu).

Quelques trucs et astuces complémentaires

En plus des méthodes générales décrites ci-dessus, certaines pratiques peuvent grandement aider à la mémorisation des chants. Tout d’abord, il ne faut pas vouloir identifier le chanteur dans la précipitation. La plupart des chants sont répétés à plusieurs reprises. De plus, certains chants ont l’avantage d’être assez longs. Il est donc judicieux d’attendre d’avoir entendu le chant entier, à plusieurs reprises si nécessaire, avant de s’essayer à une identification. L’identification des oiseaux n’est pas une course. La nature nous accorde le droit de ralentir, de prendre le temps de l’écouter. Alors autant en profiter !

Il existe de très nombreuses sources d’enregistrements d’oiseaux. Les écouter en sachant de quelle espèce il s’agit est très utile. Un moyen ludique de progresser est de se créer des petits quizz de chants d’oiseaux, à écouter en ordre aléatoire et à deviner… Les trajets en bus ou les embouteillages deviennent ainsi l’occasion d’apprendre à connaître les oiseaux ! Programmer le réveil sur son téléphone pour se réveiller tous les matins au chant d’un oiseau particulier est aussi un bon moyen de le retenir. Une fois le chant bien assimilé, modifiez votre alarme et passez à un autre chant.

Troglodyte mignon

Les roitelets sont connus pour émettre des chants discrets, à volume relativement faible. Le Troglodyte mignon, qui a pourtant un gabarit similaire, émet quant à lui un chant étonnamment puissant au regard de sa taille. Le volume sonore des chants est donc parfois aussi un indice à ne pas négliger.

Combiner l’écoute à l’observation est très important. C’est avant tout un plaisir : les oiseaux sont aussi beaux à observer qu’à écouter. Et en plus, associer les deux facilite grandement l’apprentissage. En observant l’oiseau qu’on entend, notre cerveau crée des liens sans même qu’on s’en rende compte. Continuer à écouter et à observer, même après avoir identifié l’espèce dont il s’agit, permet de consolider ses connaissances.

Même lorsque l’on ne voit pas l’oiseau, il est intéressant de prêter attention à la provenance du son dans le paysage. Un troglodyte chante la plupart du temps à moins de cinq mètres du sol. A l’inverse, une grive musicienne chante toujours depuis un perchoir élevé. La position d’où l’oiseau chante peut faire partie des éléments qui peuvent aider à l’identification.

Lorsque l’on n’en a pas l’habitude, l’écoute des chants et leur mémorisation est un exercice ardu. Il est donc préférable de s’exercer en faisant des sessions courtes, en se focalisant sur un ou deux chants. Oublier ce qu’on a su, le mémoriser à nouveau jusqu’à le retenir définitivement est un cycle normal dans l’apprentissage, et c’est très certainement le cas en ornithologie. Passer du temps régulièrement sur le terrain, les yeux et les oreilles grands ouverts, quel que soit l’endroit, est le meilleur moyen de progresser.

Applications et livres : de précieux alliés dans l’apprentissage des chants

En plus de la pratique de terrain qui est indispensable, les ressources ci-dessous sont des compléments très utiles pour apprendre les vocalisations des oiseaux.

  • Chants et cris d’oiseaux – 350 espèces de France (Stanislas Wroza , éd. Delachaux et Niestlé) : le spécialiste français de la bioacoustique a publié cet ouvrage très complet et accessible aux ornithologues de tous niveaux en 2023. Tous les chants et cris décrits dans le livre sont accessibles en ligne au moyen de QR-codes.
  • Les chants d’oiseaux d’Europe occidentale (André Bossus et François Charron, éd. Delachaux et Niestlé) : un livre de référence, remis à jour en 2020, accompagné de deux CDs contenant les chants et les cris de 180 espèces.
  • Merlin Bird ID et BirdNet : ces deux applications sont capables d’identifier les vocalisations (chants et cris) des oiseaux via le micro d’un smartphone. Les interfaces sont très différentes l’une de l’autre. Merlin Bird ID est probablement plus accessible à un public débutant, tandis que BirdNet aura la préférence de certains ornithologues confirmés. Nous vous encourageons à tester les deux et à choisir celle qui vous convient le mieux.
  • Xeno-canto est la base de données incontournable de sons d’oiseaux dans le monde entier. Chaque son est accompagné d’un sonagramme, et tous peuvent être téléchargés librement. Une mine d’or d’informations !

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